Transparentes et claires, les illustrations d’Antoine Guilloppé deviennent de magistrales dentelles de papier dans cette exposition. Le contraste entre le noir et le blanc vient aussi bien accentuer la sauvagerie de la jungle, que bâtir la puissance de l’ultra-urbanisme new-yorkais. Enfin King-kong, personnage mythique, se fait l’impossible trait d’union entre les deux mondes. Un fabuleux accomplissement créatif pour l’artiste et un bonheur pour les yeux de ses lecteurs !